lundi 22 juin 2009

Agile et l’intégration de ressources dites « particulières ».

Les méthodologies agiles donnent une place importante aux différentes personnes impliquées dans un projet, qu’il soit client, pilote, membres de l’équipe de développement où autres participants.

Les méthodologies agiles, et bien sur votre humble serviteur, préconisent de mettre la bonne personne à la bonne place en exploitant ses forces et ses compétences plutôt que se s’acharné sur ses faiblesses.

Ce n’est pas vrai de dire qu’on est bon dans tout, qu’on peut tout faire. Chaque individu à des forces et des faiblesses. Qu’elle soit causée par un manque d’intérêts ou par une limitation quelconque.

Souvent, beaucoup d’organisations ont peur d’engager des ressources qui en apparence a une certaine limitation. Et j’entends parlas pas seulement les personnes « dites handicapés » mais toutes personnes qui a une limite fonctionnelle, physique ou mentale.

Pourtant, malgré leurs limitations « en apparence » certaines de ces personnes cachent des habilités extraordinaires. Donnons par exemple, M. Albert Einstein, l’un des plus grands physiciens du dernier siècle avec son fameux E=mc2. Qu’est-ce que serait la physique moderne sans son apport. Pourtant, il était dyslexique. Ce qui aux yeux de biens des gens serait encore aujourd’hui un handicap majeur.

Je pense aussi à un ami, du secondaire, qui était paraplégique. Mais, en l’absence de jambes fonctionnelles, avait développé une force exceptionnelle au niveau des bras. Il était imbattable aux bras de fer.

La comparaison que je donne souvent, c’est l’achat d’une voiture. Si on met un gros budget pour acheter le super moteur, des roues de courses. Il risque d’en maquer pour le reste. Mais, cela ne veut pas dire que notre voiture ne correspondra pas à nos besoins, quelle ne sera pas fonctionnelle.

L’apparence de limitation d’un individu, peut-être une force dans un autre contexte. L’autre jour en discutant avec une amie, elle me racontait qu’un des amis avait problème de rendement avec ses employés (construction). Elle lui a suggéré d’engager de hyperactif, ils ont tellement d’énergie. Qu’ils pourront travailler comme 2. Je trouvais l’image belle.

L’hyperactivité qui causait problème en classe, sur un chantier de construction pourrait être un avantage.

Si on regardait notre contexte, l’informatique. Certaines limitations aux yeux de certains pourraient causer des problèmes. Par le passé, j’ai eu un employé qui était du syndrome d'Asperger, limitation qui causait de problème dans interaction personne à personne, le point négatif.

Mais, l’autre côté positif, c’est qu’il avait une passion démesurée (à la limite de la folie) pour le développement Web (javascript, asp.net, XML et compagnie). Une vraie encyclopédie sur ces technologies. Bien entendu, on ne l’a pas mis aux services à la clientèle. Il était notre développeur pour tout ce qui touchait le javascript, le XML, XSLT, CSS et compagnie. Il avait aussi la responsabilité de tester tous les frameworks ou librairies touchant ces technologies. Dieu merci Google, ne l’avait pas découvert, je n’imagine pas, ce que Google sortirait comme technologie s’il avait accès à ces services.

Je ne vous cacherai pas la première fois, que je l’ai rencontré. Je n’étais pas sur de vouloir l’engagé. Mais, je remercie le ciel d’avoir eu la sagesse d’aller plus loin.

Une autre personne que je connais, il est dyslexique. Beaucoup de gens auraient peur de le mettre en dans un contexte, il devrait faire de la formation et de l’animation de groupes. Et pourtant, cette personne le fait de plus de 20 ans.

Bien sûr, pour y arriver, il fait corriger ses textes et ses présentations. Ou semblait un problème, sa dyslexie, il s’en est servi pour apporter une compréhension nouvelle de la formation. Il a du pour surmonter, surpasser sa dyslexie trouver des solutions à l’apprentissage que d’autre n’aurait pas trouvés. Il se sert de ces techniques qu’il a développées pour lui, pour enseigner, former les autres. Il utilise une forme d’enseignement qui utilise plusieurs axes simultanément. Donc, tous trouvent son compte, n’oublions pas que chacun apprend de manière différente.

Comme, il me faisait remarquer tout le monde n’est pas visuel ou auditif. Des gens pour apprendre, doivent faire des exercices à répétitions par exemple, et bien d’autre manière d’apprendre.

En utilisant, leurs forces que plutôt qu’en s’acharnant sur leur faiblesse. On arrive à produire des meilleurs travaux.

En agile et avec le gros bon sens, si on place la bonne personne, avec les bonnes compétences, aux bons endroits. Que plutôt s’acharner à leurs faires réussir des tâches que toute manière, ils seront incapables de réussir, on réussirera de miracles . Ne demandons pas à un aveugle de voir, mais ce qu’il peut faire pour nous aider. Nous saurions peut-être surpris de sa réponse.

Le classement d’individus, les préjugés et toutes actions négatives envers les personnes. Quand on croit qu’il y a un problème et qu'on le résoudre en appliquant des idées préconçues, on se trompe souvent. Il faut rester ouvert, rechercher des solutions. On ne peut pas tout connaître, parfois demander, se documenter sur des limitations en apparence, on pourrait être surpris du résultat. Ces quelques efforts nous aideront à intégrer aux mieux des ressources qu’on aurait délaissées sans ces efforts.

Il ne faut pas oublier, qu’on a tous à notre manière des limitations qui aux yeux des autres, sont des handicapes majeurs. Pour moi, quelqu’un avec l’esprit fermé est plus problématique que un aveugle, un Aperger ou un dyslexique.

Il faut aussi trouver de nouvelles façons d’intégrer ses ressources, et ils pourront nous apporter des lumières dans notre nuit.

Restons ouverts d’esprit, restons agiles.. ! Même avec ces ressources qu’on éliminait par simples préjugés.

mardi 9 juin 2009

WebCamp, une façon de participer aux changements des TI

Les méthodologies apportent un courant de changements. Mais, pour effectuer ce changement, il faut travailler plusieurs aspects.

Mais surtout s’assoir les gens de l'industrie concernée ensemble pour discuter ce qu'on peut améliorer ou non dans notre industrie.

C'est ainsi qu'a l'initiative, des gens que je respecte, MM Nicolas Roberge, Jonathan Parent, Luc Vaillancourt, Jean-Philippe Bonneau et le tout supporté par la Vetiq, on eu l’idée de lancer le premier WebCamp de Québec.

C’est une belle occasion d’échanger, de discuter, de voir comment on va les grands changements que l’industrie des TI doit faire, qu’il soit agile, web ou autrement.
La seule chose qui est sure avec les TI, c’est que ça évolue.. ! Et quand on veut voir, savoir et même participer à ce changement, il faut s’impliquer. C’est pourquoi, je serai présent, et je serais prêt à répondre aussi « présent » si les gens veulent m’entendre parler de ma vision des méthodologies agiles.

Participons aux changements, participons à ce WebCamp.. ! C’est une manière.. De s’impliquer aux changements.. ! Derrière le Web, derrière les technologies, il y a des gens qui réfléchissent!

En terminant, je vous invite aussi à laisser des commentaires sur ces billets, si voulez orienter ma possible présentation.

P.-S. Je vous invite à vous inscrire.. Rapidement, les places s’envolent.

lundi 1 juin 2009

Les méthodologies agiles, au gouvernement est-ce possible?

Les méthodologies agiles au gouvernement est ce possible, je réponds à cette question Oui, avec beaucoup de travail par contre.

L'informatique évoluée, les expertises changes, le manque de ressource, la spécialisation des ressources, et encore bien d'autre élément vos finir à faire changer l'approche que nos gouvernements.

Je ne sais pas s'ils iront vers les méthodologies agiles ou autres choses, mais le modèle, dois, et va changer, j'en suis sûr.

En me fiant à mon expérience, à ce que j'ai vu jusqu'ici, le gouvernement va prendre la tendance la plus forte. À titre d'exemple, la technologie qui a pris émergence pour faire du web dans les ministères de la région de Québec, c'est du .net de Microsoft.

En plus, une nouvelle génération (« Y » et ses suivantes) arrive à grands pas, ils ne veulent plus les anciennes méthodes. Mon ami Nicolas Roberge a bien décrit la problématique dans son billet : Le choc des générations dans les technologies de l’information».

On vit, le gouvernement vit un changement majeur dans la manière qu’il doit faire et l’informatique. Récemment, on pouvait apprendre que de grands chantiers avaient défoncé les temps et les budgets, pour le pas dire qu’ils avaient perdu le contrôle.

C’est peut-être en ne faisant plus ces grands chantiers qui sont presque impossibles à contrôler.

On ne peut pas manger un rhinocéros en une seule bouché, mais si on le découpe en petit morceau, c’est plus facile à manger.

C’est la même chose pour un projet informatique. Il faut le prendre en plus partie, c’est beaucoup plus facile à gérer, et ce, dans le contexte du manque de ressources et de changement technologies.

Mais, pour les méthodologies agiles soient abordés dans nos ministères, il y a plus d’un changement à faire. Je ne veux pas couvrir tous les éléments dans ce billet. Je vais essayer d’explorer chacune des problématiques dans les billets suivants.

L’agilité au gouvernement, c’est possible. Mais on va avoir besoin de bon cuisinier pour aider à manger notre rhinocéros. Moi, je suis partant pour trouver la bonne sauce et vous.. ?

Seul, je n’y arriverais pas .. Je vais faire mon petit bout de chemin, aider certain à le faire.. Mais, tous nous devront en faire un aussi.

Là, et seulement là, les méthodologies agiles pourront être adoptées aux gouvernements.