mardi 13 juillet 2010

Lancement du site corporatif

Nous avons lancé un nouveau site corporatif à l’adresse suivante : http://www.generationagile.com et par ce fait, nous avons aussi déplacé notre blogue à http://generationagile.com/blogue-de-generation-agile/ et son flux RSS : http://generationagile.com/feed/

Nous vous invitons à le changer dans vos lecteurs de flux et bien surs, continuer à nous suivre. Mais, surtout, continuer à nous apporter vos lumières avec tous vos commentaires judicieux.

MERCI de votre compréhension et au plaisir, de continuer à échanger avec nous.


L’équipe de Génération Agile.

lundi 5 juillet 2010

Les comités d'architectures, pour ou contre.

Les comités d'architectures, pour ou contre.

On dit en méthodologies Agiles qu'on doit prioriser le travail d'équipes. Mais, à quel prix ? Surtout quand et comment, on parle d'architecture logicielle.

Un architecte logiciel au sien d'une équipe traditionnelle est le maitre après Dieu. Il est surtout le maitre désign logiciel. C'est lui, éminence grise, sur ce domaine. Les autres membres de l'équipe n'ont qu'à appliquer ce que ce « Dieu » a décidé.

En plus, de son travail s'effectue en début de projets. Où il met les grandes lignes de l'architecture (L'ARCHITECTURE LGOCIEL) et puis s'en va du projet. Et dans de très rares cas, lorsqu'on est vraiment chanceux et que le projet est long (conséquemment très gros). Et parfois, il reviendra en cours de projet, pour faire une revue d'architecture.

Mais, disons que cette stratégie n'est pas vraiment « Agile ». Mais, certaines organisations pour aider (ou favoriser) le travail d'équipe. Mais aussi la compréhension des membres des équipes de développement. Elle forme de ce qu'on appelle des comités d'architecture.

Un comité où les membres, indépendamment de leurs niveaux de compétences, s'assoient ensemble pour construire l'architecture du logiciel et bien sûr la mettre en œuvre. Arriver à un consensus sur les différents choix d’architectures nécessaire aux projets.

J'avoue que dans certains contextes et lorsque l'équipe est restreinte, cela peut fonctionner. Par contre, si l'équipe est trop grande, que la disparité des compétences (surtout en architecture logiciel) ne s'égale pas. On peut tomber dans le piège de la réunitivite. La maladie des réunions qui s'étire pour n'arriver à aucun consensus.

Donc, c’est quoi le compromis qu'il faut faire. Je sais, vous voulez une solution toute faite. Mais, si vous êtes lecteurs réguliers de mon blogue, vous savez que je ne donne jamais de solutions toutes faites. Je propose généralement une approche plutôt qu'une solution.

Mais, c'est quoi le rôle de l'architecte logiciel au sein d'une équipe Agile. D'abord concevoir cette architecture logiciel, je sais c’est évident. Mais, c'est bien de se le rappeler. Mais, contrairement aux environnements traditionnels. Il n'est pas le « DIEU » de l'architecture. Mais, l'expert aux SERVICES, oui aux SERVICES des autres membres de l'équipe.

De plus, son intervention aux projets de ne doit pas se limiter à une p'tite vite en début de projet. Mais, tout au long du projet. Il est au service de l’équipe et de ses membres

Donc, l'approche que j’utilise (oui je suis aussi Architecte logiciel « Agile ») et qui fonctionne avec les équipes dans lesquelles je l'ai appliqué. C'est que je conçois seul une première version de l'Architecture. Une fois conçu, je la présente oui, à un comité d'architecte « RESTREINT ». Il est généralement composé de 2 à 3 autres personnes (membre de l'équipe bien sur), ceux qui sont les plus expérimentés ou qui peuvent apporter quelque chose aux discussions.

Je présente toujours le concept d’architecture, en disant que je leur présente ma vision pour leur faire valider. Je suis à leur service et non l'inverse. Le but de cette première rencontre, c’est d'établir les bases de « NOTRE » vision de l'architecture logicielle. Lorsqu'il est nécessaire, nous pouvons ensemble la raffiner.
Une fois que cette petite équipe est arrivée à un consensus. Je dis bien un consensus, peut-être pas à la véritable architecture. Mais, les premières bases qui doivent être mises en début de projet. Elles seront et devront être raffinées en cours de projet. J'utilise cette approche à chaque phase importante d'architecture.

Tout faire en équipe, c'est philosophiquement bien. Mais, impossible à appliquer correctement dans le monde réel. Si nous sommes trop nombreux à discuter ensemble pour des choses simples. Il risque fort qu'on consomme du temps inutilement. Prendre de faire la sélection d'un groupe de composantes ou des grandes lignes d'architectures. Nous n'avons pas besoin d'avoir l'opinion de chacun des membres. Au besoin, leur poser individuellement la question, pourra très bien suffire

Il faut prendre le temps d'évaluer la rentabilité des efforts et le temps consommé aux projets. N'oublions pas, notre « ULTIME » but c'est de produire un logiciel. Ne pas faire, des réunions justes pour faire réunion.

En résumé, faire des comités d'architectures logiciels, oui, seulement lorsque c'est nécessaire. Rappelez-vous de vous poser les questions suivantes.

Pourquoi je fais quelque chose ?

Pour qui je le fais ce quelque chose?

Et surtout comment on doit fait la chose ?

lundi 14 juin 2010

Un chef et son buffet de services, un buffet de services Agile

Un chef et son buffet de services, un buffet de services Agile

Ce petit concept pour parler d’Agile, commence à faire du bruit sans que vous sachiez qui en est l’auteur!

Donc, comme je suis à l’origine de cette analogie, j’ai le devoir de vous expliquer ce qu’elle soutient.

Qui d’entre vous est déjà allé au restaurant ! Et une fois arrivé dans ce restant, vous vous trouvez devant 2 problématiques. Soit vous vous retrouvez dans un restaurant qui ne sert pas ce que vous pensiez y manger ou ne savez pas quoi manger. Mais encore, le serveur ne vous apporte pas le plat commandé!

Trop souvent en informatique et malheureusement en méthodologie Agile, vous vivez (vous les clients) ce genre de situations désagréables. Vous voulez vous lancer en dans cette aventure. Mais, vous ne savez pas comment et encore moins quelles implémentations prendre.

Donc, c’est pour cela que j’ai réfléchie à comment apporter une solution à ce problème et bien entendu , d'une manière Agile.

Premier constat, nous ne pouvons pas savoir ce dont vous avez besoin sans que nous vous l’ayons demandé. Mais, il ne suffit pas de demander, il faut aussi beaucoup écouter.

Deuxième constat, votre besoin peut et va changer ! Donc, pour être en concordance avec le principe de la réactivité aux changes (en référence au Manifeste Agile) que je dois donc vous offrir une solution qui suivra cette évolution.

En reprenant l’exemple du restaurant, je peux préparer un excellent menu, d’excellent mets. Mais, lorsqu'arrive le temps de choisir , il peut arriver que ce que j’ai préparé ne vous convienne pas exactement. Là sera mon vrai rôle de conseiller, de chef Agile en vous orientant vers de combinaisons qui pourraient répondre à votre besoin. Et si nécessaire; après tout, j’ai de très bons fournisseurs de produits alimentaires; je pourrai vous concocter une recette bien à vous. Une combinaison de méthodologies agiles (ou juste une seule) qui permettra d’adresse votre problème.

En Agile, il existe plusieurs méthodologies (Scrum, Leam, Kanban, XP, etc.) qui répondent chacune à différents besoins. Peut-être, l’une d’entre elle correspondra à votre besoin à certains moments. Et plus tard, dans le projet, se sera le tour d’une autre.

Mais choisir la bonne méthodologie Agile, c’est comme arrivé devant un buffet lorsqu’on est affamé ! On veut tout avoir, tout gouter, de l'entrée au dessert, en passant la petite soupe là-bas !

Si nous mangeons, nous goutons à toutes les choses comme des enfants, nous allons nous rendre malades. Et le problème (notre faim) que nous voulions résoudre pourrait être la cause de beaucoup d’autres. Dans ce cas-ci, potentiellement des maux de ventre pour avoir trop mangé.

Vouloir essayer toutes les méthodes, de demander à Pierre, Jean, Jacques n’est pas la solution. Mais, si vous arrivez aux buffets et que vous demandez, conseille à un chef d’expériences. Il vous fera surement découvrir des nouvelles choses, des nouvelles combinaisons que vous n’auriez jamais pensé d’essayer.

Si vous avez encore faim après la première, la deuxième assiette, vous pourrez en reprendre ou changer selon votre goût. Même chose, pour les méthodologies Agiles.

Imaginer, 10, 100 personnes qui arrive au buffet, croirez-vous sincèrement quelle prendront exactement la même chose devant l'éventail choix qui sont mis à leur disposition. Chacun de vos projets est unique. Donc, il faut appliquer de manière unique les méthodologies Agiles.

Donc, Agile et ses implémentations méthodologiques (SCRUM, XP, LEAN,Kanban, Crystal Clear et autres) doivent s'adapter à votre besoin au moment de votre commande. Au besoin, on pourra changer de chef, changer d’ingrédients, inventer, mixer avec l’aide d’experts pour trouver la recette! La recette qui vous permettra d’atteindre l’objectif de créer un logiciel qui correspond à vos besoins.

Je m'engage à vous concocter la recette dont vous aurez besoin au moment.

Aujourd’hui, vous avez le goût de manger quoi, vous avez besoin de combler quelle problématique ?

dimanche 23 mai 2010

Quelle est le meilleur outil pour construire le Web ?

Quelle est le meilleur outil pour construire le Web ?

Lors du dernier #WEBCAMP #QC, cette question a été lancée. Il y a eu un débat intéressant !

Mais, j'aimerais si vous me permettez, d'y réponde en plus de 140 caractères.

Toujours lorsque me pose ce genre de question, je réponds à peu près la même réponse. « un petit calepin, un crayon,  mes deux (2) oreilles et mon équipe ».

Car, avant toute de choses, l'origine de l'application web que nous voulons construire est un « CLIENT ».  Sans lui, il n'y aurait pas de projet !

Mes 2 oreilles me permettent l'écouter, mon calepin et mon crayon prendre des notes sur son besoin. C'est seulement après pris conscience de son besoin que je puisse enfin choisir qu'elle sera le meilleur outil pour répondre à son besoin.

Peut-être parfois, je prendrai des plates-formes #OpenSource ! D'autres du .Net ou même du Java (J2EE). Mais,  peu importe vers quoi se tournera mon choix, il devra absolument répondre à ces critères.

1-Techniquement et efficacement rentable pour mon Client !  Si pour arriver à construire l'application qui rempli son besoin ! Que parce que j'ai choisi le langage « X » dans l'environnement « Y », le projet me prend 6 mois de plus avec des « Gourous » qui seront seules à comprendre ce qu'ils font. À mes yeux, je me tire dans le pied.

2-Une fois le projet terminé ! Est-ce que le client ou encore une équipe réduire, sera capable de supporter et d'entretenir l'application et son environnement ! J'ai trop vu souvent ! De belles applications, qui faisait pour quelque chose de simple (informatiquement parlant) et qui demandait une armée pour la supporter. Et là, je ne parle pas d'une plate forme de gestion de grandes entreprises. !

3-Mes choix technologiques sont-ils compatibles avec l'environnement de mon Client. Exemple, si mon client est ORACLE-JAVA-LINUX-Progress mur à mur, et que je lui arrive avec une application construire en ASP.NET sur une base de données SQL SERVER. Comme on dit l'application a besoin d'être belle ..!

4-L'expertise, l'expertise (les ressources humaines) nécessaire pour la mettre en œuvre existe-t-elle sur le marché local ou régional de MON CLIENT. Si mon client est perdu dans le Grand Nord et les seuls programmeurs qui peuvent l'aider et qui habite sa région, ne connaît que le PHP. Je n'irais pas l'écrire en JSF parce que tout simplement moi j'aime ça. On attache nos clients par la qualité des services qu'on lui rend et non par notre expertise technique qu'on possède.

5-Le web existe depuis longtemps, il a vu passé plus d'un langage ! C Pour faire les CGI-BIN, de l'ASP standard, Java pour faire des applets et tout le reste.  La question n'est pas de répondre qui est le meilleur ! Mais, qui est le meilleur aujourd'hui ! Si refaisons le projet dans un an, dans 2 ans nos choix seront peut-être différents.

Je fais du Web depuis presque ses débuts ..! Et malgré toutes ces années, je n'ai pas trouvé le LANGAGE DE PROGRAMMATION meilleur que tous les autres. J'en ai juste trouve certain mieux adapter pour répondre à un besoin ou à contexte donné.
Rappelez-vous, le langage de programmation est un outil et non un moyen. L'outil est remplaçable par un autre. Quant au moyen, c'est la seule manière de faire la chose.

En résumé,  ayez un bon coffre à outils !

Invitation aux blogueurs participants aux #WEBCAMP #QC

J'invite tous les blogueurs qui étaient présents aux dernières #WEBCAMP #QC de faire ressortir la connaissance et ce qu'ils ont retenu de leurs expériences de cette belle aventure.

Nous étions 400 chanceux en salle, plusieurs autres en ligne. Mais, tout cela ne doit pas s'arrête là !

Le Web continue à vivre et à évoluer ! Donc, servons-nous de cette belle réflexion collective qu'est  le #WEBCAMP #QC et rédigeons ensemble des billets à la garder active et pour la prospérité !

Je vous invite aussi à utiliser les tags suivant #WEBCAMP #QC #after  et m'envoyer un lien vers vos billets. Il me fera le plus grand plaisir de les ajouter en référence aux bas de ce billet.

Allez procréer, faisons-nous ensemble d'excellents billets sur cette journée épique !


Denis F. GravelWebCamp Québec Live – 19 mai 2010
Bruno LaroucheQuelle est le meilleur outil pour construire le Web ?
Jonathan ParentEntrevue de Jonathan Parent suite aux #webcamp
Mario AsselinD'un WebCamp à l'autre...
Sandra Bellefoy« Twitter » le WebCamp de Québec…
Sandra BellefoyAutour d’un WebCamp québécois…
@jfvrville2ème édition du Webcamp Québec réussie
journal de QuébecWebCamp 2010: le happening web de Québec
CyberpresseLa politique a encore peur des médias sociaux
Billet de Québec t’aimeAll your "WebCamp" are belong to us
Patrick GrégoireRetour sur mon Webcamp Québec : 400 passionnés de Web se rencontrent

lundi 10 mai 2010

Mutatis mutandis, une réflexion sur le WebCamp de Québec

Le 19 mai prochain, environ 400 professionnels de tous acabits de l’industrie du Web se réuniront dans une conférence participative de type BarCamp, ce sera donc une belle occasion pour tous de discuter.
 
L’objectif de ce genre de conférence est souvent partagé sur un domaine donné. Dans le cas qui nous intéresse, ils échangeront sur le Web. Mais si, aujourd’hui nous amorcions ensemble une réflexion le WebCamp, n’on pas pour le changer, mais juste pour poser un nouveau regard.
 
Un regarde de ce qui devrait être changé. C’est là l’essence de cette expression latine.
« En change ce qui doit être changé, et d’apprendre la différence de ce qu’il ne l’est pas ». Le changement c’est bien, pourtant il ne faut le faire sans réflexion à prime à bord.
 
Le Web arrivera bientôt à son âge adulte. Longtemps, il a été un monde réservé aux Geeks tant pour son utilisation que son exploitation. Progressivement, il s’est démocratisé à tous les niveaux. Il passa du programmeur jusqu’à l’artiste pour se rendre jusqu’à l’utilisateur.
 
La science de jadis devient un art ! Les techniques inaccessibles qu’aux professionnels devient facilement utilisable par nos utilisateurs.  Donc, aujourd’hui, demain, et pourquoi pas le 19 mai prochain. Nous devons apporter une réflexion sur ce qu’il serait intéressant pour l’aider à devenir grand.
 
De venir en grand, en mettant en place des outils, des stratégies de développement et différentes actions pour enfin  qu’on puisse dirent :  « Adulte, tu es maintenant ! » au sujet du Web. Et je crois que c’est une belle occasion, ce WebCamp  de Québec.
 
Avec les années plusieurs outils ont été mise à la disposition de toute personne qui s’intéressait aux technologies Internet. Du simple « vi » (éditeur en mode ligne d’Unix) pour écrire le HTML jusqu’au CMS le plus sophistiqué par exemple WordPress ou Drupal.
 
Des langages de programmation pour les types de programmeurs, avec Framework pour faire à peu près tout ce qu’on voudrait faire dans ce merveilleux monde du Web. En passant de l’open source jusqu’aux distributions commerciales.
 
Je ne crois pas qu’il y a un meilleur langage qu’une autre, il n’y a qu’un meilleur pour combler le besoin dans l’environnement technologique et organisationnel qu’il doit être livré.
 
Avec l’ensemble des outils qui sont mis à notre disposition, nous devons passer du travail de l’artisan à un travail plus professionnel. Cependant, il plus que le temps de mettre en place des stratégies, surtout des stratégies de développements.
 
Des stratégies qui ramèneront les principaux intéressés à leur place respective. Bien sûr, l’utilisateur final, c’est lui qui utilisera ce que nous allons construire. Sans oublie, les différents membres de l’équipe ou des équipes qui construiront le site Web ou l’application et bien sur le client qui payera le projet.
 
Bien sûr les méthodologies Agiles font partie de ces stratégies sans pour autant en être la seule. Le choix d’une stratégie doit être basé le partage. Le partage entre les individus, le partage d’information de données, le partage entre les organisations. L’échange et la communication doivent être au cœur même de cette stratégie.
 
Il faut aussi profiter des acquis qui se sont faits aux files des années. Aujourd’hui, nous ne devons pas toujours réinventer la roue. Plusieurs des choses, des bonnes et des mauvaises. Mais, il faut prendre le temps de valider leur utilisation. En prenant conscience que nous ne sommes plus seules. Que peut-être quelqu’un à déjà résolu le même problème que nous avons. Ou encore, que notre solution pourrait aussi servir à quelqu’un d’autre.
 
De l’open source aux formats ouverts, en passant architectures orientées services (incluant les environnements « clouds computing ») jusqu’aux différents réseaux sociaux. 
 
Plus d’un changement cogne à nos portes, nous ne pouvons pas (ou plus) faire la sourde oreille. Les gouvernements, les grandes entreprises comme la petite doivent prendre le temps d’évaluer toutes les solutions. Même les solutions qu’il n’y pas si longtemps, ne semblaient pas acceptable.
 
N’oublions pas, le Web n’est plus seulement dans nos ordinateurs bien assis à nos bureaux (au travail ou à la maison). Aujourd’hui, avec un ordinateur portable et un accès WIFI on peut avoir accès presque partout. Et ce n’est plus seulement l’ordinateur qui nous donne accès ce merveilleux monde !
 
Du petit téléphone intelligent, en passant les tablettes PC  ou le fameux IPAD. Et même, la télévision qui servira bientôt comme terminal  pour naviguer sur Internet. En plus, programme télévisé qui sont webdiffusé.
La TÉLÉVISION qui s’annonce de se présenter dans le WEB et bien sûr le présenter aussi ! Nous n’avons qu’à penser ToutTv.com démontré ce point.
 
Mais, il ne faut pas oublier notre ami Google que presque chaque jour, repousse les limites. Une vraie « vague » d’évolution que nous ne sommes pas les seules à utiliser.  Il n’est pas loin, le jour où un client va nous demander une application comme Google Earth. Car, lui aussi l’utilise maintenant.
 
Je ne sais pas ce comment demain sera fait. Mais, une chose est sûre ! Ce sera au moins Web. Donc, c’est important de tenir des activités comme le WebCamp et d’y apporter une réflexion sur le changement en cours.

Au plaisir de discuter avec vous au WebCamp.  

samedi 24 avril 2010

Si vous me racontiez une petite histoire ?

C’est souvent comment, j’aborde mes séances d’ « User Storie » avec des usagers.
Au cours des prochaines lignes de ce billet, je vais essayer d’apporter mes lumières sur l’utilisation de cette méthodologie d’identifications de besoins et des fonctions de l’application des utilisateurs.
Beaucoup de gens plus traditionnels on peur de s’y impliquer trop à font ou encore ne savent pas comment le faire, sans embarqué dans dans une spirale de besoins. Ou encore pire, en utilisant un langage trop compliquer pour l’utilisateur.
L’utilisateur moyen comprend souvent mieux son son travail que le pense ! Pourquoi pas, de lui proposer une technique simple pour nous l’expliquer. Si on leur permet de nous parler, sans qu’ils sentent moins compétant ou inférieur à nous. Généralement, ils vont nous faire de belles surprises. Nous connaissons l’informatique, mais eux connaisse leur domaine. Notre logiciel doit s’adapter à leur besoin et aussi à leur domaine d’affaires. Laissons-les-nous en parler !
Les histoires utilisateurs (ou en anglais « User Stories ») permet de créer cet environnement facilitateur, et ce, sans l’utilisation d’outils complexes. Il est rare de trouver une personne qui est incapable de parler ce qu’il fait à tous les jours.
Qui ne sait pas dessiner grossièrement un écran juste pour donner un premier ébauche de ce quoi il pourrait ressembler. Mais, surtout prendre le temps d’écouter l’utilisateur sur ce qu’ils voudraient en faire.

Car, n’oublions pas, notre quête ultime dans cet exercice, c’est de livrer en fin de projet la meilleure application. La meilleure application qui correspond tant aux besoins de notre utilisateur. Mais, aussi selon contexte organisationnel (incluant sa capacité de payer aussi).
Trop souvent pour atteindre cet objectif, on utilisait un jargon trop technique; peut-être pour nous monter un peu trop savant ! Mais en restreignant notre langage à celui que tout le monde peut comprendre et surtout l’utilisateur. Il sera vite à l’aise de nous parle de toutes ses préoccupations. Il sera toujours temps d’écrire une belle documentation pour conserver ou officialiser ce besoin.
Nous en méthodologies Agiles, nous acceptons le changement. C’est vrai. Mais, plus rapidement ce changement arrive. Mais, aussi sa compréhension devient claire plus vite nous adapter dans le projet. Plus, nous aurons la capacité de l’adresser et d’y faire face. Plus auront la facilité d’atteindre notre objectif final.
Cette belle histoire que l’usager va nous raconter. Elle ne doit pas être laissée à tous les vents. Mais, accompagner tant dans son traitement que dans son discours. On peut bien raconter, les contes des mille et une nuits. Si cela n’apporte rien à la compréhension, cela ne sert à rien.
Il aussi intéressant, de permet à l’occasion de parler de sont travail d’une manière plus générale. Car, en racontant ces petits à côtés. À une oreille, bien à viser, on peut découvrir bien choses qui vont nous aider dans notre quête.
J’aime bien entendre raconter mon utilisateur ce qu’il fait en prenant son café en arrivant le matin. J’y ai découvert de vraies petites perles. Souvent même, sans que l’utilisateur se rendre compte de ce qu’il m’avait raconté, de l’importance de son histoire.

Raconter une histoire, c’est bien beau. Mais, comment faut-il le faire. Comme dit l’expression, nous avons deux oreilles et une bouche. C’est qu’il faut écoute 2 fois plus qu’on parle. Prendre des notes au besoin, des petits schémas, de petits dessins et l’utilisateur n’y voit pas d’inconvénient, enregistrer les conversations.
Il faut aussi, bien sûr, prendre des notes de ce que l’utilisateur nous explique. La manière le plus simplement, c’est par l’utilisation de grand Post-it ou d’un tableau. Si vous utiliser un tableau, d’apporter une caméra pour prendre une photo de ce qui a été écrit au tableau. C’est important de garder ces grands Post-it ou photos pour conserver une trace de ce qu’il a été discuté avec les utilisateurs.
Il est très conseillé de limiter à 4 ou 5 points de formes par fiche. On se croit toujours avoir une mémoire très supérieur à la réalité. Mais, il est facile de se rappeler de l’information comprise dans 4-5 items. Plus que ça, il sera difficile de combler l’information des points formes.
Et quand on dit, des points de forme. On ne dit pas de romans. Il faut se limiter à une ou deux phrases courtes. Une phrase d’actions et surtout affirmative. Nous voulons décrire ce qu’on veut faire et non l’inverse.
Restons simples, restons Agile tant notre approche que dans nos actes. Et faisons- le ensemble, en impliquant l’utilisateur, nous atteindrons notre objectif. De créer la meilleure application pour notre utilisateur. Et j’en suis sur, il en sera d’autant satisfait. Car, il se sentira impliqué dès le début et jusqu’à la fin.
Lors de ces séances d’ « user stories » vous ne devez pas diriger la conversation ou la rencontre. Mais, vous devez l’animer, idéalement nous en voulons toujours plus, avoir toute l’information d’un seule coup. Mais, parfois, il sera nécessaire, tant pour compréhension du système système ou domaine d’affaires. Ou parce que l’utilisateur avait plus d’information à nous donner.
Il sera toujours le temps, d’en refaire une autre pour compléter ou même améliorer la compréhension du besoin. Parler, s’assoir avec notre utilisateur, lui donner l’occasion de nous parler de son besoin, c’est aussi ça d’être Agile.
Avez-vous une petite histoire à me raconter ?